14 celles d’un peintre encore inconnu, sans galerie ; leur diffusion a nécessairement procédé d’une redécouverte dont l’exposition au centre d’art de la Villa Tamaris en 2007, puis l’intérêt de la galerie Anna- Tschopp, furent les étapes décisives. Parce que les galeries italiennes de Birga, tant qu’elles existèrent, ont joué leur rôle, beaucoup de Portes sont aujourd’hui dans des collections italiennes1 et il serait bien hasardeux de tenter de rapprocher par la seule mémoire les œuvres vues un jour, au milieu des années 1980, dans cette exposition collective du XIXe arrondissement de Paris, de telle ou telle peinture dont nous aurions l’image ou que nous aurions aperçue depuis. Les vues d’Italie qui sont dans l’exposition parleront pour toutes, représentant les absentes : la partie pour le tout. C’est le jeu de toute exposition. Käufer findet oder lange im Atelier verbleibt, hängt vom Zeitpunkt, vom Bekanntheitsgrad, von der Existenz fähiger Galerien, von dem, was die Liebhaber interessiert und von vielen anderen Umständen ab. Die Gemälde seiner Jugendzeit stammten von einem noch unbekannten Maler ohne Galerievertretung; ihre Verbreitung erfolgte zwangsläufig erst in Folge der »Wiederentdeckung« – ihre Ausstellung im Kunstzentrum Villa Tamaris im Jahr 2007 und das Interesse der Galerie Anna-Tschopp waren dabei entscheidende Schritte. Da die italienischen Galerien von Birga, solange es sie gab, ihrer Aufgabe gerecht wurden, befinden sich heute viele der Türen in italienischen Sammlungen.1 Es wäre wagemutig, zu versuchen, jene Werke, die wir einmal Mitte der 1980er-Jahre in einer Gruppenausstellung im 19. Arrondissement von Paris gesehen haben, allein mitDer rote Aufzug 2004, Öl auf Leinwand, 80×80 cm, Privatsammlung der Autoren, Paris L’ascenseur rouge 2004, huile sur toile, 80 × 80 cm, collection des auteurs, Paris
RkJQdWJsaXNoZXIy MTMyNjA1